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Acacia tortilis (Mimosacées)

Il est reconnaissable à son port étalé en forme de cône inversé, ses gousses tortillées et ses longues épines, il est très fréquent à Djibouti.
Il est très apprécié des troupeaux de chèvres et des dromadaires.
Sa sève produit une gomme de qualité très médiocre.
Le bois mort est utilisé pour le feu et les branches épineuses pour fabriquer des clôtures.

Ci-dessous, port en "drapeau" dû au vent dominant d'ENE provenant du Ghoubbet et de la situation non protégée au sommet de la colline
(en arrière-plan, l'Eger'ealeyta).


Acacia mellifera (Mimosacées)
Contrairement à l"Acacia tortilis, il possède un port en boule, ses inflorescences sont odorantes, ses gousses sont aplaties et les épines sont courtes. À Djibouti, nous l'avons trouvé avec Acacia tortilis sur les collines et les plateaux (comme sur le plateau au sud du Ghoubbet).
Comme tous les acacias, il est brouté par les troupeaux de chèvres et des dromadaires.

Acacia asak (Mimosacées)
Le branchage est rès ramifié et buissonnant. Il a un plus grand besoin d'eau l'eau. Nous l'avons trouvé à Djibouti en bordure des lits d'oueds ou dans les ravines.
Pour les déterminations nous avons utilisé la flore des plantes vasculaires de Djibouti (flore illustrée en 3 tomes, éditée par le CIRAD, 1994), J. Andru, J. César, J-P. Lebrun.
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