I. À travers les connaissances acquises, définir ce qu'est un être vivant
Une espèce regroupe les êtres vivants qui se ressemblent et qui sont capables de se reproduire entre eux de génération en génération.
Tous les êtres vivants (sauf les virus) sont formés d'une ou de plusieurs cellules.
Les cellules comportent une membrane (dite membrane plasmique), un cytoplasme (reconnaissable car il est granuleux ce qui laisse deviner la présence d'organites cytoplasmiques) et d'un noyau (lui aussi granuleux).
Chez les végétaux les cellules sont plus géométriques, possèdent une membrane cellulosique rigide autour de la membrane plasmique, le centre du cytoplasme granuleux est occupé par une grande vacuole transparente.
Les êtres vivants pluricellulaires possèdent des organes spécialisés pour assurer les fonctions : nutrition (apporter l'énergie aux cellules), communication et reproduction. Les cellules de ces organes sont spécialisées pour assurer la fonction de l'organe.
II. Nous appartenons à l'espèce humaine - Comment expliquer que nous soyons à la fois semblables et différents ?
Un être humain est un vertébré, mammifère comme le chien. Il présente par contre des caractères qui sont propres aux êtres humains et permettent de le distinguer.
Les êtres humains diffèrent entre eux par des caractères individuels (couleur des yeux, prognathisme, "rouler la langue en U", etc) : chaque être humain est unique.
Les caractères de l'espèce se transmettent de génération en génération du fait que seul les individus de l'espèce peuvent se reproduire entre eux.
De nombreux caractères individuels se transmettent dans la généalogie familiale.
Tous ces caractères sont transmissibles à la génération suivante, ils sont héréditaires.
Par contre certains caractères sont individuels, liés à l'environnement, souvent réversibles et ne sont pas héréditaires comme le bronzage, le développement de la musculature, la quantité d'hématies dans le sang (liées à la vie en altitude ou le dioxygène est en quantité moins importante), etc.